Psychologue pour enfants - Saint-Gilles-Croix-de-Vie

COMPORTEMENT

Le comportement de l’enfant est un indice de son bien-être ou de son mal-être.

Il se manifeste à l’école (trop envahissant ou trop effacé), mais aussi à la maison, par des colères, de l’opposition, des troubles du sommeil ou de l’alimentation, de la violence, de l’ennui, de la demande constante d’attention.

Ces difficultés peuvent se régler dès lors qu’on s’en préoccupe assez tôt, et qu’un travail s’organise autour de la relation familiale et scolaire.

ATTENTION / CONCENTRATION

Les problèmes d’attention, de concentration et de mémorisation sont récurrents à une époque où les enfants sont soumis, dès leur plus jeune âge, à un environnement trop stimulateur.

Les ramener à un fonctionnement plus opérationnel est un travail qui peut se faire en thérapie .

RELATIONS PARENTS-ENFANTS

On n’apprend pas à être parent, si ce n’est par l’expérience. Et les relations parents-enfants peuvent devenir très vite difficiles, voire insurmontables. Peurs, angoisses, colères, manies, T.O.C., sont le lot de nombreux enfants et laissent les parents désemparés.

Tous les problèmes des petits se règlent d’autant plus facilement que les enfants sont jeunes.  Les conseils éducatifs sont alors bienvenus et peuvent rétablir un équilibre familial où chacun peut trouver sa place.

L’INTELLIGENCE PRÉCOCE

Détecter très tôt une intelligence peut facilement lui éviter un échec scolaire .

Souvent incompris, dans leur demande affective et leur besoin de stimulation intellectuelle, ils peuvent s’ennuyer en classe et monopoliser l’attention familiale, et finalement développer un manque de confiance en soi qui risque de les poursuivre longtemps.

Un suivi psychologique peut permettre d’envisager les différentes solutions correspondant à leur potentiel.

 

L’HYPER-ACTIVITÉ

L’hyperactivité est souvent liée à un trouble de l’attention et de la concentration et est un trouble de déficit de l’attention avec hyper activité (T.D.A H.).

C’est le fait pour un enfant ou pour un adulte, de bouger beaucoup trop par rapport à ce que l’on peut attendre d’un enfant de son âge. Un enfant très actif ou turbulent n’est pas forcément hyperactif.

L’enfant hyperactif est un enfant qui bouge sans arrêt dans n’importe quel contexte ou circonstances. En général, l’hyperactivité va de pair avec des troubles de l’attention et de la concentration.

Les enfants hyperactifs sont souvent impulsifs, avec beaucoup de peine à se contrôler, et sont vécus comme perturbateurs à l’école et difficilement gérables dans la famille.

Distinguer l’hyperactivité d’un trop plein d’activité est important, car la prise en charge sera différente, et c’est une démarche à faire le plus rapidement possible, pour ne pas enfermer l’enfant dans un univers de réprimandes et de punitions.

LES ENFANTS HYPER SENSIBLES

De nombreux enfants souffrent d’une hyper sensibilité, d’une mauvaise gestion des émotions, avec parfois de l’agressivité. Curieux, avides de savoir, ils peuvent se mettre en échec scolaire, car trop sensibles et maladroits.

Il est important de repérer ces enfants qui peuvent être mal jugés, voire rejetés et vivre une scolarité difficile.

Ils peuvent être en difficulté relationnelle avec les autres enfants, les parents, les enseignants qui ne les comprennent pas. Il est important de déceler le problème et d’envisager une thérapie le plus tôt possible chez l’enfant

LA PHOBIE SCOLAIRE

Ce que l’on qualifie de phobie scolaire est en réalité une angoisse massive, sidérante, Qui se manifeste par l’impossibilité d’aller à l’école, que ce soit d’entrer dans l’établissement ou même de quitter la maison. Cela peut être le symptôme d’une angoisse plus profonde à identifier. Cela peut être lié à la famille, à une hyper sensibilité relationnelle, à une dévalorisation, à un mal être existentiel ….et bien d’autres causes encore .

Mais le plus souvent cette impossibilité drastique de franchir le seuil de l’école n’est que le symptôme ou la dérivation d’une angoisse plus profonde difficile à identifier, cela eut être lié à la famille, à une hypersensibilité relationnelle, à une dévalorisation, à un mal-être existentiel… et bien d’autres causes encore.

Les aménagements proposés avec bienveillance par les enseignants n’apportent alors pas de solution, puisque le problème ne relève pas de l’école. C’est une angoisse irrationnelle, inhibitrice, incompréhensible pour l’enfant ou pour l’adolescent que pour l’entourage et la volonté n’a aucun impact.

On se trouve dans une impasse qui conduit à un absentéisme pouvant amener à la déscolarisation. Il est indispensable de mettre en place un suivi thérapeutique, et, en amont, de repérer très tôt les premiers signes de souffrance scolaire.

ÉCHEC SCOLAIRE

Un enfant peut être en échec scolaire pour de multiples raisons ; intellectuelles, relationnelles, affectives, comportementales, familiales.

On observe aussi le cas des enfants angoissés, manquant de confiance en soi, des enfants hyperactifs, des enfants à intelligence précoce ou à difficultés spécifiques (dyslexie, dyspraxie, troubles de l’attention et de la concentration ou de la mémoire). Cerner le problème est le moyen de pouvoir le résoudre, et plus le problème est identifié de bonne heure, meilleures sont les chances de succès.

Cerner le problème est le moyen de pouvoir le résoudre. Pus tôt le problème est identifié, meilleures sont les chances de succès.

 

LA CONFIANCE EN SOI

 Les enfants qui manquent de confiance en soi ont peur de s’affirmer par rapport aux autres de peur de s’imposer ou d’être rejetés. Ils choisissent alors la fuite ou le repli. D’autres enfants, en situation d’échec, se dévalorisent facilement, abandonnent et ne se donnent pas les moyens de réussir. Ils manquent de confiance en eux et n’affrontent pas la difficulté.

Les premiers sont les vrais timides, ceux qui ont construit le sentiment d’identité mais qui manquent de confiance en eux pour s’affirmer par rapport aux autres. Ils se sentent moins bien, moins intéressants, manquent de répartie, ont peur de s’imposer de peur d’être rejetés. Ils choisissent la fuite et le repli. Ils se remettent toujours en cause, ils se culpabilisent facilement et malgré leurs réussites, ils ont tendance à s’inférioriser. Ils se culpabilisent, ils ont toujours peur de blesser les autres. Ces enfants s’isolent où sont suiveurs.

Les seconds sont des enfants qui ont du mal à construire le sentiment d’identité, ils ne sentent exister que par le regard des autres. Ils ont du mal à construire des relations suivant les circonstances, ils sont dominateurs ou dominés. Ils ont besoin d’être à la première place, sinon ils s’effacent et se renferment. Ces enfants ont du mal à exprimer leurs sentiments, ils peuvent être effacés en groupe et très opposants à la maison, ils ont besoin de prendre le pouvoir. Leur identité fragile ne leur permet pas de se remettre en cause, c’est toujours la faute des autres. En cas d’échec, ils se dévalorisent facilement et abandonnent, mais ne se donnent pas les moyens de réussir et souvent n’acceptent pas de reconnaître leur responsabilité dans l’échec. Ils manquent de confiance en eux mais n’affrontent pas la difficulté.

Il n’est pas facile de repérer à quel type d’enfant on a affaire pour des non-professionnels mais la prise en charge s’adresse à tous les enfants ayant du mal à s’affirmer, parce qu’elle prend en considération les différents types de problème.

Il n’est pas facile de repérer à quel type d’enfant on a affaire pour des non professionnels, mais la prise en charge s’adresse à tous les enfants ayant du mal à s’affirmer car elle prend en considération les différents types de problème.

LE HARCÈLEMENT

Le harcèlement peut commencer à la maternelle. Cela échappe souvent aux adultes. Et même plus grands, lors de leur scolarité, les enfants harcelés sont démunis.

Alors ils finissent par croire que c’est eux les méchants et ils ne disent plus rien. À partir de l’écoute de l’enfant, on arrive à comprendre pourquoi et comment s’installent ces situations, comment les analyser et les gérer, alerter les adultes et surtout rendre à l’enfant sa confiance en et lui donner et lui donner les moyens de résister et de sortir de la spirale du harcèlement. Il en va de son avenir scolaire et du développement de sa personnalité.

Comprendre pourquoi et comment s’installent ces situations, comment les analyser et les gérer, alerter les adultes et surtout rendre à l’enfant sa confiance en lui est un travail qui se fait en thérapie.

Je suis disponible pour

répondre à vos questions.

06 75 20 48 01